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Depuis le 10 mai et jusqu’au 1er juin, la Grosse Pomme accueille le plus grand festival de cinéma africain outre-Atlantique,…
Initiatrice depuis cinq ans du Pavillon africain en marge du Festival international du film de Cannes, Aminata Diop Johnson est…
Six jeunes cinéastes africains ou issus de la diaspora sont à l’affiche de la 76e édition du Festival de Cannes,…
La capitale sénégalaise, en pleine mutation ces dernières années, fait aussi la part belle au stylisme. Une jeune génération de…
Depuis 37 ans, il traverse les continents, guitare en bandoulière, drapé demajestueux costumes africains pour porter au toit du monde…
Rendez-vous incontournable des Industries Culturelles et Créatives (ICC), la biennale d’art contemporain constitue un événement majeur de l’agenda national, continental…
Dans son esprit, les galeries peuvent être assimilées à des usines. Dans son entendement, la culture est une industrie. Depuis…
La 14ième édition de la biennale de Dakar a été pour les Sénégalais, mais également les citoyens du monde, un moment intense d’appropriation de cet évènement. Et, il suffit de se déplacer à Dakar et à l’intérieur du pays pour constater qu’il y a partout une implication des personnes et des acteurs culturels sénégalais, non pas à travers seulement les expositions dites « In », mais surtout pour les « Off ». C’est alors, qu’on peut faire le constat d’une grande richesse d’expressions, un tel foisonnement de propositions pour toutes les tendances modernes comme traditionnelles de l’art venant d’artistes sénégalais, africains et d’ailleurs. C’est ainsi qu’au Pavillon du Sénégal, contrairement aux éléments de contenus tracés par la direction artistique avec le thème I Ndaffa (Forger), c’est autour de Loositoo (le fagot) que l’exposition a été conceptualisée.